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Actus.ulb.be/medias/ photo/6k4a8090_1636540225272-jpg Soixante-cinq ans après la catastrophe du Bois du Cazier, une équipe d'archéologues du CReAPatrimoine est impliquée dans une mission de grande envergure d'identification des victimes. Le 8 août 1956, au coeur des charbonnages du Bois du Cazier, une erreur humaine occasionne une catastrophe sans précédent qui marquera le pays tout entier. Deux cent soixante-deux mineurs périssent au fond de la mine. La très grande majorité d'entre eux, de diverses nationalités, furent à l'époque identifiée par leurs proches, à l'exception de dix-sept d'entre eux restés jusqu'à aujourd'hui inconnus. Une opération mettant à profit les nouvelles techniques modernes d'identification biologique a débuté le 4 octobre dernier. Pour mener à bien ce devoir de mémoire envers les familles des victimes, le Disaster Victim Idenfitication (DVI) de la Police fédérale a fédéré de nombreux acteurs et experts autour de lui : des médecins légistes, des odontologues, des spécialistes ADN, des archéologues et des anthropologues. Parmi ces spécialistes, Caroline Polet et Alexandra Boucherie du CReA-Patrimoine, Faculté de Philosophie et Sciences sociales.
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