Une équipe interdisciplinaire du Luxembourg Centre for Systems Biomedicine (LCSB) de l’Université du Luxembourg a établi qu’un ensemble de petites variations sur différents gènes régulant les mitochondries, un composant important des cellules humaines, est associé à un risque plus élevé pour la maladie de Parkinson. Pour la première fois, les chercheurs ont aussi observé une correspondance entre ces prédictions génétiques et les caractéristiques de modèles cellulaires : les cellules issues de patients ayant un score de risque polygénique élevé présentant un dysfonctionnement mitochondrial. ...
Scores de risque génétiques et médecine de précision pour Parkinson
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