En 2021, Hélène Givron, Alice Schittek et Martin Desseilles, enseignants à l’Université de Namur, ont tiré des constats quant à la santé des étudiants (Givron & Desseilles, 2021 [1] ). D’une part, ils ont observé un lien étroit entre les compétences émotionnelles et communicationnelles des étudiants en médecine. Par exemple, la capacité à aborder des sujets sensibles comme la mort nécessite une gestion émotionnelle adéquate pour communiquer efficacement avec les familles des patients. D’autre part, il a été constaté que les étudiants font face à un mal-être accru qui s’est intensifié avec la pandémie du Covid-19.
Forts de ces constats, les enseignants ont suggéré de mettre en place un TP de 15 heures portant sur le bien-être des étudiants. ...
Viser le bien-être des étudiants : résultats d’une étude en Faculté de médecine à l’UNamur
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