La modernité capitaliste, qui met l’accent sur l’innovation, la croissance et le progrès, et dont le système économique repose sur le consumérisme et la surabondance, a conduit à une exploitation impitoyable de l’homme et de la nature. L’architecture n’est innocente dans cette dynamique, comme le prouvent les statistiques sur les émissions de gaz à effet de serre et les déchets de construction et de démolition. Pour contrer cette destruction créatrice, « La Grande Réparation » préconise de mettre l’accent sur la réparation, en faisant de l’entretien, de la maintenance et de la réparation les principales stratégies d’action. ...
Une nouvelle perspective de l’architecture durable
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